La première pièce met en scène Arnolphe, un riche vieillard jaloux, convaincu que beaucoup d'or et quelques précautions lui permettront de conquérir le cœur d'Agnès, sa jeune et jolie pupille. A travers cette comédie, ainsi que dans les trois autres qui lui sont liées, le dramaturge dénonce le ridicule de ceux qui croient à leur rôle au point de s'y tenir et l'hypocrisie du théâtre social.